Il suffisait simplement de gommer l’arbre/
D’attendre pour que l’évidence nous rejoigne/
Omettre le tout pour s’emparer du détail.
Le silence imbibait la folie des herbes/
Nimbée de l’éblouissement céleste/
Trouées bleutées permettant au regard de s’échapper.
Elle chemine et l’ombre la caresse/
Quand l’alignement sera là/
Elle reviendra par endroits.
Silence….