L’arbre, Denis de Montgolfier

La cime et les racines,

Devant moi tu t’élances sans me laisser voir ta cime ni tes racines.

Au sommet le soleil te caresse, immobile ivresse que tu préserves comme une déesse.

Où es ta rétine qui contemple ?

Où sont tes racines intrépides et humides ?

— Va, vis étranger !

Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s