Merci à Véronique Guelaud, qui répond à la proposition « l’envers du poème » par ce poème, très réussi ! La suite du jeu pourrait être de découvrir quel auteur se cache dans le poème originel, à remettre à l’endroit par conséquent !
les rires brefs
des cornemuses
du printemps
guérissent mes pieds
d’une énergie vigoureuse.
Tout apaisé
et bronzé, bien avant l’heure
j’oublie le futur et je ris
et je reste au soleil
qui me plombe
sur place
contrairement au pissenlit.
merci pour ces sanglots longs revisités me fait du bien ce soir de lire ça!
Les paris sont ouverts… qu’en dit Véro ?
Mais oui!!bravo…..sans conteste,ce sont les sanglots,!