« (…) de fait, notre sens du sacré, du divin, vient non de la seule constatation du vrai, c’est-à-dire de quelque chose qui effectue sa marche, qui assure son fonctionnement, mais bien plus de celle du beau, c’est-à-dire de quelque chose qui frappe par son énigmatique splendeur, qui éblouit et subjugue. »
François Cheng, Cinq méditations sur la beauté.
Photo : ©Marlen Sauvage