
« Parfois, ce qui domine est une étrange impression d’encerclement. Nous avons la sensation d’être cernés par des yeux qui nous regardent, par des voix qui nous interpellent. Et pourtant, il n’y a personne que nous puissions identifier. C’est la forêt tout entière qui nous étreint, qui nous observe et qui s’adresse à nous. »‘
Benoît Desombres, La Sagesse des arbres (in Penser comme un arbre, de Jacques Tassin).