
J’avais décidé le 17 mai de filer sur la route de Gap, jusqu’à cette ville peut-être, en quête de vieilles enseignes. A Rosans, j’apercevais de la route cette façade d’hôtel, celui « de l’écu de France »… A Rosans, nous sommes déjà dans les Hautes-Alpes, et toujours dans le parc naturel des Baronnies provençales. A Rosans, nous sommes dans la ville de Louis, le monsieur que j’accompagne dans la maison de retraite où il se trouve depuis neuf ans, et dont il n’aime pas l’environnement, « des montagnes étroites, serrées »… Comme je le comprends ! Le village perché, les prairies verdoyantes, la vallée à perte de vue, et les Alpes lointaines majestueuses…
MS