C’est à cette distance du village que nous conduisent nos pas, chaque soir pour ainsi dire. A travers les sentiers vignerons, adaptant notre marche aux cailloux du chemin, devisant à bâtons rompus de nos projets, de nos envies, c’est l’image de Vinsobres sur son éperon qui finit par se profiler. Hier nous parlions de généalogie, de ses impasses, mais aussi d’écriture, quand l’impasse fait écrire, justement.


© Marlen Sauvage 2022

Carnet des jours (57)
Sobriété du paysage, son degré d’alcool est inconnu… 🙂
Autour de 15° je dirais…. à vue de nez, pour le cru à venir !