Parfois, il ne me reste rien qu’une image, un son, une phrase, d’un rêve qui pourtant me paraît avoir occupé une nuit ! Impossible de rassembler autre chose que quelques bribes, comme celle-ci pour un rêve daté de la nuit du 14 au 15 novembre dernier.

« C’est comme en amour, les femmes sont prêtes à tout dévorer, les hommes laissent vingt pages. »
Cette phrase me parvient dans la bouche d’un « personnage », maraîcher sur le marché de Nyons !