
Un habitué de la série ! Merci, Bernard !
Un habitué de la série ! Merci, Bernard !
Le salut d’une vache pour démarrer la journée !
Ancien bonheur pour ce qui me concerne… Merci Bernard pour ces belles volutes de fumée !
Le bonheur… non ? Merci, Bernard !
La mer à Sausset-les-Pins, un soir de janvier…
Je fouille dans les vieux carnets, celui-ci daté de 2006 me rapporte un rêve très étrange. Est-ce que j’avais lu ou vu quelque chose ayant trait à cette période de l’histoire ? Je me souviens en tout cas de mon malaise au réveil.
Nous étions M. et moi des espions, entrés chez Hitler pour récupérer je ne sais quoi. M; a le temps de se cacher dans le tiroir d’une commode (c’est très exigu le tiroir d’une commode !) tandis que je me plaque contre une armoire, retenant ma respiration. Hitler rentre et me voit. Il m’embarque et je marche à côté de lui. Il est immense à ma droite. Nous traversons sans doute un camp de concentration. Il est hautain. Je veux lui filer une claque mais ma main n’arrive pas à l’atteindre si bien qu’on peut penser que j’ai voulu le caresser. Je prends conscience qu’on peut m’avoir vue. Je sens de la gêne. Pourtant quand Hitler se penche vers moi, et je comprends qu’il a compris que je voulais le frapper, j’ai peur soudain et je l’embrasse sur la joue (elle a l’aspect, le granulé de la peau de M. !) J’ai honte. Je répète quelque chose comme « juste un baiser ».
Par sa fenêtre… Merci Bernard !
Je triche un peu, l’enseigne est loin d’être vieille, mais elle m’a accroché l’œil sur le chemin d’un resto, d’ailleurs. A Marseille…
Ce rêve date de 2004, en décembre. Je m’en souviens encore parfaitement. Il y avait une atmosphère de vacances, une lumière particulière, tout était très clair dans ce rêve. Je n’avais aucune idée de l’angoisse qu’il recelait… Etrange réflexion… Comme si dans mon rêve subsistait une sorte de conscience éveillée.
Nous sommes avec deux autres personnes (S et J ?), M et moi, en vacances. Nous poussons la porte d’un appartement en haut d’un immeuble, cherchant un endroit où nous poser, la porte est ouverte, nous entrons. Nous commençons à déjeuner, sortant notre repas du sac, au milieu du désordre ambiant. Des fringues sur le dos des chaises, une robe d’été bleue, une petite culotte, etc. Quand j’aperçois une main poussant la porte d’entrée, et réalise trop tard au bruit que j’entends que l’on est en train de nous enfermer à clé dans l’appartement…
C’est un rêve récent que celui des cancrelats… Il date de la fin décembre. Je ne sais pas à quoi le raccrocher, il est jeté dans mon carnet, sans date. Mais les jours précédents, j’avais appris que la neige tombait en tempête au Québec où est ma fille aînée, et qu’à La Réunion, où se trouve la seconde, les inondations étaient dramatiques.
Je suis allongée dans une chambre, la nuit. Je me réveille, dans le clair-obscur, j’aperçois un cancrelat sur le mur. J’envisage de l’écraser, d’éclairer la pièce pour le faire fuir. J’ai peur qu’il y en ait d’autres. Mais je ne veux pas réveiller l’homme qui dort près de moi (je ne sais qui il est). A l’aube quand le jour s’épaissit, le cancrelat est toujours là, il m’a l’air explosé, comme si quelqu’un avait jeté une charge sur lui. Pourtant un peu plus tard, je le vois se déplacer, il descend le long du mur, il sait que je l’observe, ses longues antennes fines me le disent. Il a peur, il est méfiant.
Dans la foulée, je me trouve dans un bus ou autre véhicule, en surplomb d’une route bordée de jardins potagers, petits, étroits, accolés à des masures en paille, auxquelles succèdent des carrés d’herbes folles. Ma sœur B. est avec moi. Je prends des photos en plongée. Ici on parle espagnol. B. ne comprend pas, je traduis. A un carrefour, alors que nous sommes arrêtés, les cancrelats réapparaissent. Le paysage et les gens sont « normaux », mais les cancrelats sont là comme posés dans l’air, sur un mur invisible. Une femme (ou un homme) avec laquelle nous discutons nous dit qu’ils seront toujours là, qu’il faudra faire avec eux, apprendre leur langue, que nous dialoguerons, que nous ferons communauté.
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exprimés volatiles
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Caroline Diaz
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